


Libère-toi et cuisine sans recettes!
Révélation culinaire : libère-toi et cuisine sans recette!
Cher parent intrépide du Tumulte, aujourd’hui, je t’emmène dans un voyage culinaire révolutionnaire. Accroche ton tablier et prépare-toi à libérer ta créativité gastronomique, car nous allons parler de « Cuisiner sans recettes ».
Le moment où j’ai compris
Il y a quelques années, lors d’une journée tumultueuse comme les autres, j’ai reçu un livre en service de presse, intitulé : Cuisiner sans recettes, de Véronique Bouchard édité chez Écosociété. Intriguée, je l’ai feuilleté entre deux réunions Zoom et une crise de jus de pomme renversé. Ça a été une révélation. Non, mieux: une épiphanie culinaire. Je viens de le relire par hasard une pandémie plus tard et, crois-moi, je suis toujours aussi subjuguée par le bon sens et la liberté qu’il instille.
La liberté à portée de louche
Cuisiner sans recette, c’est comme faire du vélo sans petites roues: au début, ça fait peur, mais une fois lancé, c’est une libération. Imagine! Plus besoin de courir à l’épicerie parce qu’il manque un ingrédient exotique ou juste absent de ton garde-manger. Tu utilises ce que tu as sous la main, tu te fais confiance, et soudain, le repas se transforme en une aventure créative et surtout beaucoup plus simple.
Maîtrise les bases
Tu penses peut-être que la cuisine est un labyrinthe de recettes compliquées et d’ingrédients introuvables. Faux! En réalité, il n’y a que quelques bases à maîtriser: sauces pour mettre dans tes pâtes, pizzas, quiches, plats mijotés, salades complètes, et gratins. C’est tout ! Une fois que tu as ces fondamentaux, tu peux tout faire.
Pâtes et sauces
Les pâtes sont ton meilleur ami. Une sauce tomate de base, une sauce crémeuse, une béchamel ou même une simple huile d’olive et ail peuvent transformer des pâtes en un festin. Ajoute ce que tu as sous la main: légumes, protéines, fromages, et c’est tiguidou!
Pizzas
Oui, la pizza peut être une œuvre d’art culinaire. Une base de pâte, une sauce (tomate, crème, pesto), et ensuite, tout ce que ton frigo offre. Laisse les enfants s’amuser avec les garnitures, et tu as un repas convivial et savoureux.
Quiches
Les quiches sont la quintessence de la cuisine sans recette. Une pâte (ou pas, pour les sans-gluten), des œufs, de la crème, et ensuite, tout ce qui traîne dans le frigo. Légumes, restes de viande, fromages variés: tout est bon dans une quiche.
Plats mijotés
Les plats mijotés sont parfaits pour les jours où tu as besoin d’un repas réconfortant. Viande, légumes, bouillon, épices ou herbes et laisse mijoter. C’est presque impossible à rater, et c’est toujours délicieux. Moi je sacre le tout dans mon Instant pot et c’est réglé.
Salades-repas
Les salades repas sont la réponse à toutes les envies saines et rapides. Protéines (poulet, tofu, légumineuses, thon), légumes frais, grains (riz, quinoa, couscous) ou même patates froides, une vinaigrette (pis si elle n’est pas maison, c’est très bien parei! Cesse de culpabiliser), ou encore une mayo. Mélange, adapte, et savoure.
Gratins
Les gratins sont la solution à tous les restes. Une base de féculents (pâtes, pommes de terre), une sauce béchamel ou crémeuse, et tout ce qui traîne dans le frigo. Un peu de fromage râpé dessus et hop, au four.
Libââââârté
Dans mon tumulte, cuisiner sans recette est une bénédiction. Imagine: plus de stress pour suivre une liste d’ingrédients à la lettre. Tu ouvres ton frigo, tu vois ce que tu as, et tu improvises. Ça va tellement plus vite! Et honnêtement, c’est aussi une excellente leçon de vie pour les enfants : faire avec ce qu’on a, s’adapter, et surtout, se faire confiance. Est-ce que ça empêche d’acheter des livres de recettes? (J’avoue, j’ai une petite dépendance à cet égard… Est-ce que toi aussi?) Je n’en suis pas certaine, mais ça permet de relativer, de savoir qu’on peut se débrouiller sans.
Coup de pouce
Même si cuisiner sans recette est libérateur, je dois avouer que, parfois, j’ai besoin de consulter mes bons vieux (ou moins vieux!) livres de recettes. Oui, parce qu’à force de toujours retomber dans les mêmes plats, on finit par tourner en rond! Alors, un petit coup d’œil à une recette ici et là, ça donne des idées pour pimper mes classiques. Ça met de la variété et un peu de wow (qui ne veut pas un peu de wow quand tes enfants ont l’air ben tannés de tes soupers…)
L’appel à l’aventure culinaire
Alors, cher parent, lance-toi dans l’aventure de cuisiner sans recettes. Laisse-toi inspirer par ce livre qui, je te le garantis, changera ta façon de voir la cuisine. Tu verras, c’est un véritable gain de temps et une source infinie de créativité. Bon appétit et bonne chance dans ton propre tumulte!
Pour lire ce merveilleux livre, rendez-vous ici : https://ecosociete.org/livres/cuisiner-sans-recettes
PS: Personne ne m’a payée ou rétribuer d’une quelconque façon pour faire la promotion de ce livre. Vrai de vrai qu’il m’aide au quotidien.

Les maudites collations
« Maman, j’ai faim, je peux-tu manger une collation? » Hum, laisse-moi y réfléchir mon minou. Ok, mais seulement si tu manges tout ton souper! (Non, pas une menace pour vrai! La bonne réponse, c’est: oui, et voici ce que tu peux prendre (ou ce que j’ai préparé). L’idéal, ce sont des fruits ou des légumes avec du fromage ou une trempette, ou encore des noix et fruits séchés.
Si tu as des jeunes enfants, tu sais probablement que des petits, ça a un estomac réduit. Par conséquent, tu sais sûrement que les collations sont nécessaires à leur infatigable énergie et même à leur bonne humeur.
La sapristi de barre tendre
« Maman, je peux-tu manger une collation? Maman, je peux-tu prendre une barre tendre? (aka la collation santé la moins santé de la maison) ».
Je ne passerais pas par quatre chemins, mes enfants mangeraient des beignes et des bonbons à chaque collation. Je crois que je vais devoir réexpliquer la différence entre un dessert occasionnel et une collation parce qu’en ce moment, je morfle. Ils mangeraient mal sans cesse. Faudrait aussi que je repense aux collations d’avance, pour ne pas être prise de court.
Mais eux, ils ont faim, et ils veulent manger ce qu’ils ont envie. Ils aimeraient donc ça manger des barres de chocolat ou des bonbons, si d’aventure on en avait dans le garde-manger.
Je vais te dire comment je gère les cochonneries chez nous: ils ont droit à tout, mais en petite quantité. Personnellement (et c’est dans mes valeurs, mais tu as le droit de ne pas être d’accord et de refuser que ça rentre chez toi), j’aime les cochonneries. J’aime en manger de temps à autres, et je ne veux pas me cacher de mes enfants. Comme tu sais qu’on prêche par l’exemple, pour moi il est important de manger ce que l’on veut, avec modération. Pour ne pas créer de frustrations alimentaires, entre autres. Chez nous, une alimentation équilibrée, c’est des cochonneries de temps en temps! Pour tout le monde.
Oui, d’accord, ce n’est pas bon pour la santé, des chips, des crottes de fromage, du chocolat et des beignes. Mais ça arrive que j’en achète. Et ça arrive même que j’en donne en collation à mes enfants! (Sortez le bûcher). Bon, j’essaie de donner des raisins aussi en même temps. Tu sais, pour me déculpabiliser d’être cette mère indigne…
Des trempettes toutes prêtes
Oui, comme d’habitude, le secret est dans la planification. Non, pas besoin d’avoir un agenda pour l’écrire (quoique…), mais au moins, avoir quelques crudités sous la main et une trempette prête en moins de 2, histoire d’anticiper sérieusement le « je peux-tu prendre une barre tendre ». Qui n’a pas cédé à cette charmante question, toute lasse de sa journée qu’on est?
Le secret est aussi dans la trempette. Une petite sauce mayo ketchup, un peu de yogourt grec aux herbes salées. Juste de l’hummus du commerce fait aussi très bien la job.
Pour te faciliter la tâche encore plus, tu peux couper du fromage en cubes ou en lamelles, si tu te sens l’âme de batchcooker pendant tes congés! (lolpaslol).
Astuce de lâche
Tu n’es pas serré.e dans tes finances ce mois-ci? Tu as beaucoup de boulot à la job? Facilite-toi encore davantage la tâche. Tu peux acheter sans culpabilité un plateau de crudités à l’épicerie, en faisant comme si l’inflation n’existait pas et en remerciant le ciel d’avoir créé ce genre de plat tout prêt qui permet à ta famille de se gaver de choses santé.
De rien!
Collations maison
Tu aimes faire tes propres muffins, barres tendres, boules d’énergie ou même gâteaux? Sérieusement, achète le livre « Collations maison » de Sandra Griffin, alias Maman mange bien. Son livre est un must, les recettes sont faciles et adaptables en quantité et en ingrédients. J’ai acheté le livre tout récemment et j’ai fait deux recettes qui ont été un succès! Les galettes à l’avoine et les mini-brownies.
Tu peux l’avoir ici: https://mamanmangebien.com/boutique2/
Sérieusement, je mets tout dans mon super robot et j’ai rien d’autre à faire que cuire par la suite. Pas trop compliqué.
Mais n’oublie pas qu’acheter des collations du commerce ne fait pas de toi un mauvais parent!
Mon robot fonctionnerait non-stop dans la semaine, si je fournissais 100% la famille en collations maison. Personnellement, j’aime mieux déléguer à mon épicier préféré au moins 50% des collations et donc, j’en achète à chaque semaine!
Sur ce, bonne popotte

Gère tes lunchs comme un pro!
Quand les lunchs commencent… Le trouble commence! « Maman, pourquoi t’achètes jamais des Ficello? Mamaaaaaaan, pourquoi t’achètes jamais des biscuits Pokemon? Papa, je veux des Yop individuels comme mes amis! » Si tu es un tant soit peu grano, que tu essaies de diminuer le plastique et le suremballage, tes enfants vont te trouver plate et ce n’est pas grave. Mais force est d’admettre que ce n’est pas toujours une partie de plaisir! D’expérience, il faut le dire, la volonté de couper des carottes en forme d’animaux et d’écrire des mots doux avec du sirop d’érable dans le yogourt (j’exagère à peine) ne dure que quelques jours, voire quelques semaines pour les meilleurs parents d’entre nous.
Moi dans la vie, ce qui m’intéresse, c’est la simplicité. Ça prend moins de temps, et tout le monde est gagnant.
Qu’est-ce que ça te prend pour faire des lunchs?
Une affaire pour découper les légumes en spirales, des cure-dents en forme de yeux, et des plats d’une marque bien précise… Mais non, je blague. En gros ce que ça te prend, ce sont des contenants de plastique de différentes grosseurs, une gourde, des sacs à collation réutilisables et si tu veux investir, une boîte compartimentée (de type « bento ») peut être une bonne option, surtout pour les petits mangeurs qui picorent. (C’est vrai que l’essayer, c’est l’adopter. Mes enfants adorent, mais moi j’aime moins les laver. Dans le lave-vaisselle ça reste plein d’eau par la suite et dans l’évier, ce n’est vraiment pas plaisant de frotter les coins). MAIS tes enfants vont manger, c’est ce qui compte au final, non?
Aussi, un thermos est absolument essentiel. Vérifie les marques, car certains sont moins bons que d’autres. Et ça a l’air que peu de gens le savent, mais un thermos, tu dois mettre de l’eau bouillante pendant 10 minutes, avant de mettre la bouffe chaude à l’intérieur, sinon, ça gardera nettement moins bien la température. Crois-moi c’est écrit dans le manuel du thermos. Mais qui lit ça, un manuel de thermos? (Pourtant tu aurais dû! Heureusement, grâce à moi, tes enfants vont enfin manger chaud! De rien).
Pis oui, ça prend une boîte à lunch également!

Des aliments
Ben oui, c’est toujours mieux de mettre les bons aliments dans les bons contenants… Je pense toujours à la fille de mon conjoint qui, lorsqu’elle était petite, était partie avec le mauvais plat. Elle avait dû composer à 7 ans avec comme lunch une côtelette « straight » pas coupée!
Blague à part, tu peux faire une liste de fruits et légumes que tes enfants aimeraient manger en collations, avant d’aller à l’épicerie. Sinon, comme je n’ai pas beaucoup d’options en raison des restrictions imposées par l’école, (en gros, fromage, fruits et légumes), je me sens souvent l’âme créative lorsque vient le temps de couper ledit fromage : en dés, ou en lamelles. Ça fait changement! (Si tu pensais que j’allais t’annoncer que je le coupe en forme de lune et d’étoiles tu me connais mal).
Comme desserts, si tu veux cuisiner des muffins ou des galettes, c’est bien, mais je te conseille de doubler (ou plutôt tripler et quadrupler) les doses! Sinon, ça durera seulement un jour ou deux (nous, ça dure tellement peu de temps que c’en est décourageant. On est une famille nombreuse, ça doit être pour ça). Si tu te donnes du trouble à cuisiner, cuisine plus en un coup, tu vas y gagner!
Pour vrai, des lunchs, ça se compose de sandwichs ou de plats principaux à réchauffer, ainsi que des collations/desserts. Alors mes conseils, c’est de varier le pain (wraps, baguette, pain sandwichs, bagels, croissant, muffins anglais, et même crêpes ou gaufres, ça fait des sandwichs fancy!). Change la garniture et le tour est joué. On dit que la charcuterie, c’est pas bon pour la santé, alors ne lésine pas sur les œufs, le thon, la dinde, le poulet, la tartinade de tofu ou d’humus ou le seitan tranché mince (on me dit d’essayer celui de Miss Recipe depuis des années et je ne l’ai toujours pas fait. Ne fais pas comme moi! Il paraît que ça vaut le détour).
En plus des sandwichs et des plats chauds, il y a bien sûr les salades. Ce n’est pas compliqué: tu cuis un féculent: pâtes, riz, patates, quinoa, orge… Tu attends qu’il refroidisse, tu coupes des crudités ou légumes que tu mets dedans, tu mets une protéine qui se mange bien froide: jambon, oeuf, thon, saumon, puis tu ajoutes une vinaigrette ou une sauce à base de mayonnaise ou un pesto. Voilà!
Sinon, ton plat du souper de la veille réchauffé dans le thermos, ça fait la job! (oublie pas : eau bouillante avant!). Ou même, je te donne mon truc : un potage agrémenté de protéine. Mes enfants ne mangent pas de légumes cuits. C’est trop mou, c’est trop insipide, c’est trop un légume quoi. Bref, en potage, ça passe numéro 1, je mets tous les vieux légumes du frigo dedans. Alors il suffit d’ajouter des mini boulettes ou des cubes de jambon ou de poulet et l’affaire est ketchup. Tu peux aussi faire des dîners déconstruits : c’est l’idéal pour les petits mangeurs (et à mettre dans la boîte compartimentée). En gros, œufs durs, craquelins, tartinade, légumes : bref comme plein de petites collations, qui plairont aux picky eaters!
Si tes enfants aiment moins les légumes crus, tu peux aussi faire des trempettes un peu originales qu’ils aimeront, ou encore les saupoudrer de sel aux herbes. Ça marche!
Achète aussi des grosses poches de yogourt que tu pourras mettre dans des gourdes réutilisables (enfin moi c’est ce que je fais, tu n’es pas obligé.e!) Pareil pour les compotes, j’achète seulement les gros pots. Oui, je suis au courant que les enfants aiment mieux les petits contenants, c’est cute. Mais c’est aussi plein de plastique et beaucoup plus cher. Dans tous les cas, je ne te juge pas, moi aussi ça m’est arrivé de me sentir tellement lâche que j’ai sciemment choisi d’étouffer la planète avec des petites coupelles de fruits déjà emballées individuellement (et même plus qu’une fois, à part de ça…) plutôt que de verser le liquide dans les contenants et devoir bien frotter le comptoir après.
« J’aime pas ça!!! »
Ton enfant te fait une crise un soir car ton souper est « dégueulasse! », il a jamais « rien vu d’aussi dégoûtant » et il « mangera jamais ça». C’est la chance de ta vie! S’il ne veut pas manger la même chose le lendemain, propose-lui de se faire son propre sandwich pour s’éviter cette torture, il va apprendre à cuisiner en moins de deux. C’est ainsi que je supervise vaguement le travail, lorsque je mets au menu quelque chose de moins populaire. Et je suis toujours contente de me sauver de la corvée de lunchs.
Fais-les participer
Sans qu’ils fassent leurs sandwichs nécessairement à chaque fois, c’est bien de penser à les impliquer. Je le dis souvent, mais que tes enfants coupent leurs fruits ou leurs légumes, c’est bon pour la dextérité fine. Si jamais tu leur coupes, c’est ok, mais n’oublie pas de les faire mettre dans le contenant. Ensuite, nous avons chez nous un endroit dédié dans le frigo où ils peuvent prendre leurs plats frais à mettre dans leur boîte à lunch le matin (attention à ne pas prendre la côtelette).
Voilà, tu verras, ça a l’air pire que ce que c’est! Tu pensais que c’était ça que c’tait, mais c’tait pas ça que c’tait!
Simplifie ton quotidien avec Au coeur du Tumulte
L’ORGANISATION ET MOI
Simplifie ton quotidien avec Tumulte!
Pourquoi Tumulte parle d’organisation?
Je ne suis pas coach en dépassement de limites, ah non. Je crois à la saine performance et à la gestion optimale du temps pour en avoir plus pour soi et sa famille ou ses proches.
Tout le monde a le même nombre d’heures dans une journée, mais certains sont plus débordés que d’autres. Bien sûr, cela dépend de beaucoup de paramètres. Toutefois, certains ont plus vite la tête sous l’eau.
Remettre ses priorités au centre de l’horaire, agir selon ses valeurs (oui, c’est cliché, mais ça a fait ses preuves), en tenant compte de ses besoins avant ceux des autres (comme le masque dans l’avion!), fera en sorte qu’on ressentira plus de calme et qu’on gèrera mieux son temps et ses urgences. Un espace mental et physique suffisant pour se déposer aidera à prendre soin de soi et des autres. Oui, c’est un peu le fameux « connais-toi toi-même ».
Par exemple, ne va pas inscrire tes enfants à 1000 activités par semaine si tu fatigues vite ou que tu as besoin de beaucoup de temps pour toi.
Si tu es entrepreneur.e et que tu apprécies prendre ton temps, n’accepte pas les mandats en urgence qui te feront sentir comme une poule pas de tête.
La connaissance de soi, c’est le nerf de la guerre. Pour connaître ses façons de fonctionner et agir de façon optimale.
Les entrepreneurs savent souvent ce genre de choses, mais tous les parents devraient le savoir aussi, afin d’être adéquatement présents pour leur enfant et être aligné avec eux-mêmes.
Moi je suis une mère de trois enfants, mais je suis aussi une femme qui travaille beaucoup et qui a besoin de temps pour respirer. Je n’ai pas toujours été organisée! En fait, avant d’avoir des enfants, je ne l’étais pas vraiment. J’étais même plutôt bordélique. Désormais, je ne fonctionne pas sans mon fidèle planificateur, un bureau physique bien rangé, tout comme mon bureau d’ordi. J’accepte un peu de désordre dans ma maison, mais j’essaie aussi que tout fonctionne bien, que chacun puisse avoir des tâches bien définies pour que tout fonctionne de la meilleure façon possible sans surplus de travail. Oui, je suis assez paresseuse en fait de la tâche domestique. C’est ce qui me permet de viser toujours plus l’efficacité!
La gestion du temps, ce n’est pas avoir un horaire rigide, c’est gérer au mieux ses priorités et son temps pour ce qui compte vraiment.
Prochainement, des formations seront disponibles sur notamment la méthode EFFIC que j’enseigne, tout comme l’atelier : « finis ta journée à midi » (à venir prochainement).
Au plaisir de mieux se connaître!
