Les fournitures scolaires, version simplifiée tout en restant riche! (ou pas trop pauvre)
La rentrée arrive, et avec elle, cette fameuse liste de fournitures qui te fait réaliser que t’es pas encore millionnaire. Mais cette année, on va jouer ça en version simplissime et surtout, sans vider ton portefeuille. Prête à transformer la corvée en mission commando? Let’s go!
1. Fais de tes enfants des agents spéciaux
Avant de mettre un pied dans un magasin, il faut faire l’inventaire. Et là, je ne te parle pas d’une petite fouille rapide. Non, non. On parle d’une chasse au trésor digne d’Indiana Jones… dans ton propre salon. Fais-leur vider les tiroirs, déterrer les crayons oubliés, et retrouve ce cahier qui traîne depuis l’an passé (celui qui a juste trois pages de gribouillées). Bonus : fais-leur croire que c’est l’fun. Genre, tu leur dis qu’ils sont en mission secrète pour sauver la planète. Parce que oui, chaque crayon recyclé, c’est une victoire pour ton compte en banque, et ça réduit le gaspillage!
Mes enfants adorent prendre une feuille et essayer chaque feutre pour savoir s’il est encore bon ou pas. Tu l’essaies et tu le sacres aux vidanges le cas échéant! (Pour ta gouverne, sache que tu peux aller les porter au Bureau en gros, ils les recyclent! Oui, oui vrai de vrai! Manque pas ta B.A du mois!)
Ensuite, direction le magasin. Mais attention, là, on ne rigole plus : ils deviennent les maîtres de la liste. Toi, tu supervises avec un café en main. Eux, ils courent partout pour trouver leurs affaires. Résultat? Ça leur donne un peu de contrôle (et ça t’évite une scène de fin du monde devant les stylos de couleur).
2. Le magasinage : version parent ninja
On va se le dire : acheter des fournitures scolaires, ça peut te ruiner si tu joues pas intelligemment. Alors, règle numéro un : oublie les marques fancy. À moins que tu veuilles vraiment gaspiller ton cash sur des crayons qui brillent dans le noir (spoiler : ils brillent pas vraiment), va direct vers les marques maison. Sérieux, une efface blanche, c’est une efface blanche. Ton kid va la mâchouiller dans deux semaines de toute façon. Ou la couper.
Donc magasine les prix. Avant, mon chum allait tout le temps au Bureau en gros. J’aime les défis et je me suis lancée de payer de moins en moins chaque année (en même temps, je vais être honnête, c’est logique, tu accumules chaque année et tu recycles, donc tu as toujours un peu de stock à passer). Donc, les meilleurs prix? Chez moi, c’est au Jean Coutu. Oui, oui, je te jure. Mieux que le dollo, mieux que le Bureau en gros. J’ai réussi à équiper mes deux tornades pour 55$ tout compris cette année. Pis avec ce qui reste, tu peux te payer un café (double crème, double sucre, on va pas se priver). Ou juste mets-le dans le REEE! Y a pas de petit profit.
3. Les étiquettes, c’est pour les amateurs : Vive le Sharpie!
Ah, les étiquettes… T’sais, ce moment où tu te dis que c’est vraiment la pire invention après le sac de chips qui se déchire jamais comme il faut. Mais attends, t’es pas obligé de subir ça. Solution miracle : le Sharpie. Sérieux, prends un marqueur noir pis écris direct sur tout. TOUT. Sac à dos, boîte à lunch, crayons, même l’étui à crayons en tissu. Écris direct dessus. Laisse tomber les étiquettes qui finissent par se décoller dans la première semaine. Comme d’habitude, je fais participer mes petits tannants. Ils doivent identifier eux-mêmes leurs choses, et ce, depuis la maternelle. Ça fait pratiquer l’écriture en même temps! Pis moi je supervise vaguement. Pis si t’as envie de pousser ça à l’extrême, tu peux même leur tatouer le nom sur le bras (joke… ou pas). Moi je ne fais pas, j’ai un petit smatte qui aime bien pousser les limites. Y a des bonhommes de dessinés sur son cadre de lit… Au Sharpie. (Il a aussi décidé de faire pipi debout dans un petit bac à jouets de sa chambre une fois… Bref, tu connais tes enfants.)
En fin de compte, avec ces petits trucs, la rentrée va te sembler beaucoup moins stressante et beaucoup plus drôle. Et qui sait, tu pourrais même devenir la ninja du magasinage scolaire. Bon, j’exagère peut-être un peu, mais t’as compris l’idée. Bon succès!
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